Le secrétaire général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, a réaffirmé mercredi que sa formation se « battrait jusqu’à ce que l’agression contre Gaza cesse». « Si un accord de cessez-le-feu est conclu à Gaza, les combats sur notre front s'arrêteront. Cependant, si Israël décide d’attaquer le Liban-Sud après l'instauration d'un cessez-le-feu à Gaza, nous défendrons le Liban et ne tolérerons pas l’occupation. Nous attendons le résultat des négociations», a-t-il ajouté.
Dans une allocution prononcée à l'occasion de la commémoration de l’assassinat de Mohammad Nehmeh Ali Nasser lundi dernier, le commandant de l’unité «Aziz» du Hezbollah, Hassan Nasrallah a souligné, pour la énième fois, que sa formation n’a pas «peur» et qu'elle est «prête à la guerre», affirmant, comme à chaque discours, que les combattants «exigent d'être en première ligne des combats pour la victoire ou pour mourir en martyrs».
En réponse aux menaces israéliennes de guerre contre le Liban, le chef du Hezbollah a assuré être prêt, insistant sur le fait que «puisqu’Israël n’est pas capable de terminer son opération et d’engranger des gains à Rafah», il ne peut pas envahir le Liban. «Ceux qui nous demandent de nous retirer au nord du Litani sont des fous, des idiots. Lorsque les chars arriveront à nos frontières, vous verrez ce qui les attend. Nous sommes toujours prêts», a-t-il ajouté.
Abordant les négociations entre le Hamas et Israël à Doha et au Caire pour un accord de cessez-le-feu alors que le conflit est entré dans son dixième mois, le chef de la formation armée a souligné que le mouvement islamiste palestinien négocie pour tout l’axe pro-iranien, et que le Hezbollah et les autres groupes respecteront tout accord conclu.
Au 277e jour de l’ouverture du front libano-israélien, Hassan Nasrallah s’est vanté des mérites du front ouvert le 8 octobre qui a atteint ses objectifs, affirmant que le front libanais ainsi que «tous les fronts de soutien ont le même objectif: drainer psychologiquement, moralement et matériellement l’ennemi ». Énumérant les problèmes dans la société israélienne, attribués selon lui à la «résistance», comme le conflit avec les Haredim, le leader pro-iranien a souligné que la victoire ou la défaite dans une guerre n’est pas déterminée par «le nombre de morts, mais par la déstabilisation du pays».
Une heure donc d’un discours va-t-en-guerre bancal qui s'apparente à une méthode Coué au service d’une hypothétique «victoire divine», qui omet sciemment les problèmes du Liban qui s’effondre.
Dans une allocution prononcée à l'occasion de la commémoration de l’assassinat de Mohammad Nehmeh Ali Nasser lundi dernier, le commandant de l’unité «Aziz» du Hezbollah, Hassan Nasrallah a souligné, pour la énième fois, que sa formation n’a pas «peur» et qu'elle est «prête à la guerre», affirmant, comme à chaque discours, que les combattants «exigent d'être en première ligne des combats pour la victoire ou pour mourir en martyrs».
En réponse aux menaces israéliennes de guerre contre le Liban, le chef du Hezbollah a assuré être prêt, insistant sur le fait que «puisqu’Israël n’est pas capable de terminer son opération et d’engranger des gains à Rafah», il ne peut pas envahir le Liban. «Ceux qui nous demandent de nous retirer au nord du Litani sont des fous, des idiots. Lorsque les chars arriveront à nos frontières, vous verrez ce qui les attend. Nous sommes toujours prêts», a-t-il ajouté.
Abordant les négociations entre le Hamas et Israël à Doha et au Caire pour un accord de cessez-le-feu alors que le conflit est entré dans son dixième mois, le chef de la formation armée a souligné que le mouvement islamiste palestinien négocie pour tout l’axe pro-iranien, et que le Hezbollah et les autres groupes respecteront tout accord conclu.
Au 277e jour de l’ouverture du front libano-israélien, Hassan Nasrallah s’est vanté des mérites du front ouvert le 8 octobre qui a atteint ses objectifs, affirmant que le front libanais ainsi que «tous les fronts de soutien ont le même objectif: drainer psychologiquement, moralement et matériellement l’ennemi ». Énumérant les problèmes dans la société israélienne, attribués selon lui à la «résistance», comme le conflit avec les Haredim, le leader pro-iranien a souligné que la victoire ou la défaite dans une guerre n’est pas déterminée par «le nombre de morts, mais par la déstabilisation du pays».
Une heure donc d’un discours va-t-en-guerre bancal qui s'apparente à une méthode Coué au service d’une hypothétique «victoire divine», qui omet sciemment les problèmes du Liban qui s’effondre.
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