Le ministre libanais sortant des Affaires étrangères, Abdallah Bou Habib, a appelé à la mise en œuvre intégrale de la résolution 1701 du Conseil de sécurité et au retrait israélien du Liban. Pour M. Bou Habib, «le seul moyen de rétablir le calme au Liban est de mettre fin à la guerre à Gaza».
Le chef de la diplomatie libanaise a tenu ces propos mardi matin, lors d'une conférence de presse qui s’est tenue au Caire avec son homologue égyptien, Badr Abdelatty.
«Les appels lancés par certains pays pour que leurs ressortissants partent du Liban nuisent à notre économie, en particulier pendant la saison touristique et nous nous efforçons d'éviter une guerre généralisée qui nuirait aux intérêts de tous les pays de la région», a-t-il aussi défendu.
Interrogé sur la frappe iranienne (attendue) contre Israël après le meurtre du chef du bureau politique du Hamas, Ismaïl Haniyé, survenue mercredi à Téhéran, M. Bou Habib «a souhaité que cette riposte ne soit pas une réponse collective ou forte de la part de l’axe de la Moumana’a afin qu'elle ne conduise pas à une guerre totale».
L’Égypte réaffirme son soutien à la souveraineté du Liban
De son côté, le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, a condamné «les attaques répétées contre le Liban, dont le bombardement survenu mardi dernier dans la banlieue sud de Beyrouth».
Tout comme son homologue libanais, M. Abdelatty a lui aussi appelé à «la nécessité de mettre en œuvre immédiatement la résolution 1701 par toutes les parties». Il met en garde contre le risque que «l’escalade actuelle se transforme en une guerre» élargie.
«Nous tenons à la sécurité des ressortissants égyptiens au Liban», a-t-il ajouté tout en réitérant «le soutien de l'Égypte au Liban, à sa souveraineté et à son intégrité territoriale».
Le chef de la diplomatie libanaise a tenu ces propos mardi matin, lors d'une conférence de presse qui s’est tenue au Caire avec son homologue égyptien, Badr Abdelatty.
«Les appels lancés par certains pays pour que leurs ressortissants partent du Liban nuisent à notre économie, en particulier pendant la saison touristique et nous nous efforçons d'éviter une guerre généralisée qui nuirait aux intérêts de tous les pays de la région», a-t-il aussi défendu.
Interrogé sur la frappe iranienne (attendue) contre Israël après le meurtre du chef du bureau politique du Hamas, Ismaïl Haniyé, survenue mercredi à Téhéran, M. Bou Habib «a souhaité que cette riposte ne soit pas une réponse collective ou forte de la part de l’axe de la Moumana’a afin qu'elle ne conduise pas à une guerre totale».
L’Égypte réaffirme son soutien à la souveraineté du Liban
De son côté, le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, a condamné «les attaques répétées contre le Liban, dont le bombardement survenu mardi dernier dans la banlieue sud de Beyrouth».
Tout comme son homologue libanais, M. Abdelatty a lui aussi appelé à «la nécessité de mettre en œuvre immédiatement la résolution 1701 par toutes les parties». Il met en garde contre le risque que «l’escalade actuelle se transforme en une guerre» élargie.
«Nous tenons à la sécurité des ressortissants égyptiens au Liban», a-t-il ajouté tout en réitérant «le soutien de l'Égypte au Liban, à sa souveraineté et à son intégrité territoriale».
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