Au cours d’un meeting populaire dans le Chouf, le député sortant Taymour Joumblatt, candidat à sa réélection, a affirmé que le PSP, les FL, le PNL et les autres candidats se sont réunis sur une liste commune pour "continuer la bataille pour la souveraineté, la bataille en vue de confirmer l’arabité du Liban et les relations normales du Liban avec les États arabes, la bataille pour notre décision nationale libre et indépendante sans aucune domination externe ou interne". Des allusions très claires contre le Hezbollah qui viole la souveraineté de l’État du fait de l’existence même de ses armes, qui détruit les relations historiques du Liban avec ses voisins et qui tente d’iraniser le Liban.
Le chef du bloc parlementaire de la Rencontre démocratique a également affirmé que la bataille était aussi "pour la justice, la bataille pour la dignité et la vie, la bataille pour les droits des gens que le groupe 'ils ne nous ont pas laissés' a volé", dans une pique à l’encontre du gendre présidentiel, Gebrane Bassil qui a affirmé à diverses reprises qu'"ils ne nous ont pas laissé travailler" !
Et Taymour Joumblatt d’ajouter : "Nous savons qu’il n’y aura pas de changement du jour au lendemain et nous savons que les choses seront plus difficiles. C’est pour cela que nous tendons la main à chaque partenaire réel qui se soucie de la patrie".
Pour sa part, le candidat des Forces libanaises, le député sortant Georges Adwan a affirmé que le Liban "est confronté à une crise existentielle, et tout est menacé, de l’entité à la liberté". Il a par ailleurs souligné que les crises que traversent le pays aujourd’hui sont "le résultat de la main-mise persistante d’une équipe sur l’État et sa décision, et d’autre part, le résultat d’un système de corruption de la part de personnes qui n’ont aucune compétence mais qui sont créatives quand il s'agit d'avoir recours au mensonge et à l’hégémonie, et quand il s'agit de nous emmener en enfer", dans une allusion claire au président Michel Aoun qui avait annoncé en août 2020 que nous allons droit en enfer. Et Georges Adwan d’ajouter : "Nous n’avons que deux options, soit un État souverain qui s’impose, soit un État dont la décision est entre les mains de l’axe de la Moumanaa (axe obstructionniste), qui n’a rien à voir avec le Liban."
Le chef du bloc parlementaire de la Rencontre démocratique a également affirmé que la bataille était aussi "pour la justice, la bataille pour la dignité et la vie, la bataille pour les droits des gens que le groupe 'ils ne nous ont pas laissés' a volé", dans une pique à l’encontre du gendre présidentiel, Gebrane Bassil qui a affirmé à diverses reprises qu'"ils ne nous ont pas laissé travailler" !
Et Taymour Joumblatt d’ajouter : "Nous savons qu’il n’y aura pas de changement du jour au lendemain et nous savons que les choses seront plus difficiles. C’est pour cela que nous tendons la main à chaque partenaire réel qui se soucie de la patrie".
Pour sa part, le candidat des Forces libanaises, le député sortant Georges Adwan a affirmé que le Liban "est confronté à une crise existentielle, et tout est menacé, de l’entité à la liberté". Il a par ailleurs souligné que les crises que traversent le pays aujourd’hui sont "le résultat de la main-mise persistante d’une équipe sur l’État et sa décision, et d’autre part, le résultat d’un système de corruption de la part de personnes qui n’ont aucune compétence mais qui sont créatives quand il s'agit d'avoir recours au mensonge et à l’hégémonie, et quand il s'agit de nous emmener en enfer", dans une allusion claire au président Michel Aoun qui avait annoncé en août 2020 que nous allons droit en enfer. Et Georges Adwan d’ajouter : "Nous n’avons que deux options, soit un État souverain qui s’impose, soit un État dont la décision est entre les mains de l’axe de la Moumanaa (axe obstructionniste), qui n’a rien à voir avec le Liban."
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