Une nouvelle grève des hôpitaux privés a eu lieu jeudi et se poursuivra aujourd'hui, vendredi, pour dénoncer la crise subie de plein fouet par le personnel médical. En cause notamment : l’accès restreint aux liquidités, dans un secteur devenu dépendant des ressources en cash.
À l’hôpital libanais de Geitaoui, comme ailleurs dans le pays, le personnel soignant a déserté les couloirs, d’ordinaires bondés, où une nouvelle grève a été décrétée. Si les urgences restent ouvertes et les dialyses maintenues, les rendez-vous moins pressants ont, eux, été décalés.
À l’origine de cette grève, la crise que subissent les hôpitaux et qui inclut notamment un manque d’accès aux liquidités, alors que les dépenses du système médical se font essentiellement en cash. Une situation qui pèse lourd sur le personnel, dont une partie a déjà fui le pays. S’ajoute à cela l’augmentation faramineuse des frais de santé, qui dissuade de nombreux patients à consulter, au risque de se mettre en danger.
En l’absence de réaction officielle à ce combat mené depuis plus de deux ans, une centaine de médecins et d’infirmiers se sont réunis jeudi devant la Banque du Liban pour exprimer leur colère et obtenir gain de cause.
À l’hôpital libanais de Geitaoui, comme ailleurs dans le pays, le personnel soignant a déserté les couloirs, d’ordinaires bondés, où une nouvelle grève a été décrétée. Si les urgences restent ouvertes et les dialyses maintenues, les rendez-vous moins pressants ont, eux, été décalés.
À l’origine de cette grève, la crise que subissent les hôpitaux et qui inclut notamment un manque d’accès aux liquidités, alors que les dépenses du système médical se font essentiellement en cash. Une situation qui pèse lourd sur le personnel, dont une partie a déjà fui le pays. S’ajoute à cela l’augmentation faramineuse des frais de santé, qui dissuade de nombreux patients à consulter, au risque de se mettre en danger.
En l’absence de réaction officielle à ce combat mené depuis plus de deux ans, une centaine de médecins et d’infirmiers se sont réunis jeudi devant la Banque du Liban pour exprimer leur colère et obtenir gain de cause.
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