Husein el-Ali et son frère Ibrahim quotidiennement le Kash Hamam à Nakhlé, sur les hauteurs de Tripoli. Depuis le toit de leur immeuble, ils tentent de subtiliser les volatiles d’autres joueurs lors de vols organisés. Si cette discipline s’apparente à un simple jeu entre éleveurs de pigeons, il s’agit en réalité d’une pratique ancestrale dont peu connaissent les coulisses.
previous article
Tourisme: Mohammad el-Hout, 59e dans le classement Forbes
next article
Le Liban face à trois options pour la présidentielle
Lire aussi
11 blessés dans une frappe aérienne israélienne sur Serbine
27 Avr, 2024 à 22:35
Séjourné arrive pour sa deuxième visite au Liban
27 Avr, 2024 à 21:57
Journal de guerre: Jour 204
27 Avr, 2024 à 21:10