Le village de Aïn Ebel, au Liban-Sud, est en émoi depuis que les dernières enquêtes ont révélé qu’Elias Hasrouni, responsable de la région de Bint Jbeil au sein du parti des Forces Libanaise (FL), n’est pas mort à la suite d'un accident de voiture, mais aurait été victime d’une embuscade. Il aurait été enlevé puis tué avant que son corps ne soit abandonné dans une forêt de la région.
Commentant le meurtre, le chef des FL, Samir Geagea, a indiqué mercredi: «Grâce aux caméras de surveillance installées dans les maisons voisines du lieu de l'incident, il a été révélé qu'un guet-apens soigneusement planifié, impliquant au moins deux voitures, a été tendu à notre camarade Elias.» «Il a été enlevé par les membres de l’embuscade – entre six et neuf personnes –, puis conduit vers un autre endroit où il a été assassiné», a-t-il affirmé.
M. Geagea a également souligné que les informations précédentes sont désormais aux mains des autorités, notamment les renseignements de l'armée libanaise et la Sûreté générale.
Il a précisé qu’«il est impératif d'identifier les auteurs le plus rapidement possible, étant donné la sensibilité de la situation à Aïn Ebel et dans les villages environnants, ainsi que les conséquences potentielles de ce crime si les responsables ne sont pas punis».
Le chef du parti Kataëb, le député Sami Gemayel, a lui aussi déploré la mort d’Elias Hasrouni et a déclaré via la plateforme X (nouvelle dénomination de Twitter) que ce dernier a été «lâchement tué lors d'une opération milicienne dans son village».
«Nous ne condamnerons pas et ne demanderons pas la vérité, car celle-ci est claire. Hier à Majdal, aujourd'hui à Aïn Ebel et demain dans n'importe quelle région du Liban! La nation est prise en otage, les Libanais sont pris en otage, mais nous sommes dans un état de résilience et de résistance, et notre détermination ne sera pas entamée», a-t-il écrit.
Le président de la municipalité de Aïn Ebel, Imad Lalous, avait précédemment confirmé au quotidien An-Nahar que «les ravisseurs apparaissent presque clairement dans les vidéos, ainsi que leurs voitures», expliquant que vingt minutes sont passées entre l’enlèvement et la découverte du corps d’Elias al-Hasrouni, «ce qui signifie que le crime a été commis immédiatement».
Commentant le meurtre, le chef des FL, Samir Geagea, a indiqué mercredi: «Grâce aux caméras de surveillance installées dans les maisons voisines du lieu de l'incident, il a été révélé qu'un guet-apens soigneusement planifié, impliquant au moins deux voitures, a été tendu à notre camarade Elias.» «Il a été enlevé par les membres de l’embuscade – entre six et neuf personnes –, puis conduit vers un autre endroit où il a été assassiné», a-t-il affirmé.
M. Geagea a également souligné que les informations précédentes sont désormais aux mains des autorités, notamment les renseignements de l'armée libanaise et la Sûreté générale.
Il a précisé qu’«il est impératif d'identifier les auteurs le plus rapidement possible, étant donné la sensibilité de la situation à Aïn Ebel et dans les villages environnants, ainsi que les conséquences potentielles de ce crime si les responsables ne sont pas punis».
Le chef du parti Kataëb, le député Sami Gemayel, a lui aussi déploré la mort d’Elias Hasrouni et a déclaré via la plateforme X (nouvelle dénomination de Twitter) que ce dernier a été «lâchement tué lors d'une opération milicienne dans son village».
«Nous ne condamnerons pas et ne demanderons pas la vérité, car celle-ci est claire. Hier à Majdal, aujourd'hui à Aïn Ebel et demain dans n'importe quelle région du Liban! La nation est prise en otage, les Libanais sont pris en otage, mais nous sommes dans un état de résilience et de résistance, et notre détermination ne sera pas entamée», a-t-il écrit.
Le président de la municipalité de Aïn Ebel, Imad Lalous, avait précédemment confirmé au quotidien An-Nahar que «les ravisseurs apparaissent presque clairement dans les vidéos, ainsi que leurs voitures», expliquant que vingt minutes sont passées entre l’enlèvement et la découverte du corps d’Elias al-Hasrouni, «ce qui signifie que le crime a été commis immédiatement».
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