Les Libanais pourront se baigner cet été dans 26 sites de la côte libanaise «recommandés» par le Conseil national de la recherche scientifique (CNRS) du Liban sur 37 étudiés. En 2023, seuls 22 des 37 sites étaient considérés comme propres.
Dans son 40e rapport annuel publié vendredi, le Conseil national de la recherche scientifique (CNRS) du Liban sur la qualité de l’eau de mer tout le long de la côte libanaise est porteur, cette année, de nouvelles plus encourageantes. «Sur les trente-sept points où des prélèvements ont été effectués, vingt-six ont été considérés comme 'propres' et propices à la baignade», peut-on lire dans le rapport dense.
Pour rappel, le CNRS dont la mission est de surveiller la contamination bactériologique de l’eau de mer du littoral libanais depuis près de 40 ans émet chaque année des recommandations.
Un des critères scientifiques sur lequel s’est basé le CNRS pour estimer que 26 sites sont recommandables en 2024 est celui «d’une faible pollution bactérienne et organique».
Catégorisation des plages: de très bonne à critique
Les plages ont été classées en fonction de la qualité de l’eau, allant de «très bonne» à «critique». Six sites ont été jugés «prudents à critiques», avec des «niveaux modérés de bactéries fécales». Les sites ayant été estimés «les plus critiques» sont ceux de Beyrouth et du Metn.
Très bonne à bonne:
- Batroun/Bahsa Beach
- Okäibé/Nahr Ibrahim
De bonne à prudente:
- Tripoli/Mina
- Khaldé/Sandy Beach
- Sarafand/Plage publique
De bonne à critique:
- Menyé/Plage de sable
Polluée à prudente:
- Akkar/Qolayat
- Saïda/Plage publique
Passée de très bonne à bonne:
-Heri
-Jiyeh
-Rmeilé
Pêche locale et contamination par métaux lourds
Mis à part la qualité de l’eau de mer, le rapport évalue également la sécurité des poissons locaux. «11 espèces de poissons locaux pêchés loin des égouts ou des décharges industrielles» ont été jugés par le CNRS comme «sains et propres à la consommation», indique aussi le rapport. Ces derniers présentaient «des niveaux sûrs de cadmium, de plomb et de mercure».
En ce qui concerne la contamination des sédiments marins, les métaux lourds tels que le vanadium, le plomb, le cuivre et le cadmium ont généralement été trouvés à de faibles concentrations, à l’exception de niveaux notables de cadmium et de plomb dans la région de Tripoli, y compris sur la plage publique.
Dans son 40e rapport annuel publié vendredi, le Conseil national de la recherche scientifique (CNRS) du Liban sur la qualité de l’eau de mer tout le long de la côte libanaise est porteur, cette année, de nouvelles plus encourageantes. «Sur les trente-sept points où des prélèvements ont été effectués, vingt-six ont été considérés comme 'propres' et propices à la baignade», peut-on lire dans le rapport dense.
Pour rappel, le CNRS dont la mission est de surveiller la contamination bactériologique de l’eau de mer du littoral libanais depuis près de 40 ans émet chaque année des recommandations.
Un des critères scientifiques sur lequel s’est basé le CNRS pour estimer que 26 sites sont recommandables en 2024 est celui «d’une faible pollution bactérienne et organique».
Catégorisation des plages: de très bonne à critique
Les plages ont été classées en fonction de la qualité de l’eau, allant de «très bonne» à «critique». Six sites ont été jugés «prudents à critiques», avec des «niveaux modérés de bactéries fécales». Les sites ayant été estimés «les plus critiques» sont ceux de Beyrouth et du Metn.
Très bonne à bonne:
- Batroun/Bahsa Beach
- Okäibé/Nahr Ibrahim
De bonne à prudente:
- Tripoli/Mina
- Khaldé/Sandy Beach
- Sarafand/Plage publique
De bonne à critique:
- Menyé/Plage de sable
Polluée à prudente:
- Akkar/Qolayat
- Saïda/Plage publique
Passée de très bonne à bonne:
-Heri
-Jiyeh
-Rmeilé
Pêche locale et contamination par métaux lourds
Mis à part la qualité de l’eau de mer, le rapport évalue également la sécurité des poissons locaux. «11 espèces de poissons locaux pêchés loin des égouts ou des décharges industrielles» ont été jugés par le CNRS comme «sains et propres à la consommation», indique aussi le rapport. Ces derniers présentaient «des niveaux sûrs de cadmium, de plomb et de mercure».
En ce qui concerne la contamination des sédiments marins, les métaux lourds tels que le vanadium, le plomb, le cuivre et le cadmium ont généralement été trouvés à de faibles concentrations, à l’exception de niveaux notables de cadmium et de plomb dans la région de Tripoli, y compris sur la plage publique.
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