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Jusqu’au bout, Max Verstappen a tenu tête à un Lando Norris plus que féroce, confirmant une fois de plus sa position dominante en signant sa cinquième victoire de la saison.
Lando Norris, le jeune prince
Le jeune prodige de McLaren a su mettre la pression sur le Néerlandais jusqu’au dernier tour, mais cela n’a pas été suffisant, alors que Max maintenait la McLaren à plus d’une seconde derrière lui. C’est sur un dernier effort que le Britannique a pu activer son DRS, revenant à sept dixièmes de la Red Bull.
Lando Norris a fait preuve d’une performance remarquable en gérant ses pneus et ses trajectoires tout au long du Grand Prix, confirmant ainsi sa présence dans le peloton et suscitant des spéculations dans le paddock quant à son avenir.
Le résultat reste inchangé, Red Bull empochant une nouvelle fois 25 points et creusant l’écart au classement cette saison. Cependant, McLaren se rapproche, confirmant l’excellent travail de Zak Brown ces dernières semaines. L’écurie pourra indiscutablement compter sur lui pour l’avenir.
Un GP plutôt calme
Sur un circuit ne laissant absolument pas de place aux dépassements, le spectacle a manqué ce week-end en Italie, décevant les Tifosi présents à Imola. Charles Leclerc et Carlos Sainz n’ont jamais pu menacer les leaders, mais Leclerc a néanmoins réussi à décrocher la troisième place, offrant à Ferrari son premier podium à Imola depuis 2006. Le Monégasque se classe désormais deuxième au championnat des pilotes.
Mercedes, quant à elle, confirme une fois de plus ses difficultés, laissant une ouverture à d’autres équipes, avec Lewis Hamilton terminant 6ᵉ et George Russell 7e, obtenant toutefois un point pour le meilleur tour en course.
Sergio sur le déclin, Alpine à la traîne
Le Mexicain laisse encore une fois à désirer, mais parvient à se hisser à la 8ᵉ place, permettant à son écurie Red Bull d’encaisser des points importants. Cependant, ces résultats ne suffisent pas à Checo pour garantir sa place pour la saison prochaine.
L’écurie française reste sur un rythme plus que décevant, avec les deux pilotes, autrefois amis d’enfance, toujours incapables de répondre aux attentes et aux objectifs fixés en début de saison. Esteban Ocon finira à la 14ᵉ place, tandis que Pierre Gasly sera 16ᵉ.
