©Bâtiment détruit par une frappe israélienne au sud-est de Damas en 2015. (AFP)
Nouvelle frappe israélienne dans les environs de Damas: le raid a blessé un militaire dans la région de Damas a annoncé le ministère syrien de la Défense. Depuis 2011, Israël a mené des centaines de frappes contre son voisin du nord, visant tant les troupes du régime Assad que ses alliés iraniens (les pasdarans) ainsi que les combattants du Hezbollah.
L'aviation israélienne a mené lundi matin une nouvelle attaque contre des positions de miliciens pro-iraniens à la périphérie de la capitale syrienne. Il s'agit du deuxième raid en trois jours visant la région de la capitale syrienne. Les bombardements israéliens se produisent en général la nuit. "L'ennemi israélien a mené des frappes aériennes depuis le nord des territoires palestiniens occupés, ciblant des sites près de Damas", a indiqué le ministère syrien de la Défense dans un communiqué, ajoutant qu'un soldat avait été blessé et faisant état de "dégâts matériels".
Les explosions ont été clairement entendues dans la capitale syrienne, selon un journaliste de l'AFP. L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), une ONG basée à Londres, a précisé que le raid avait visé des sites dans la région de Dimas, voisine de la capitale, où opèrent des groupes soutenus par l'Iran et l'armée syrienne.
Photo d'archive d'un raid israélien sur la banlieue sud de Damas. (AFP)
Une frappe israélienne avait visé vendredi soir des sites militaires syriens près de l'aéroport international de Damas et dans la zone au sud de la capitale, selon l'OSDH, qui dispose d'un vaste réseau de sources dans le pays.
Depuis que la guerre civile a éclaté en Syrie en 2011, Israël a mené des centaines de frappes contre son voisin du nord, visant les forces gouvernementales syriennes ainsi que leurs alliés soutenus par l'Iran, ou des combattants du Hezbollah. Israël a justifié ces frappes par la nécessité d'empêcher l'Iran de s'implanter à proximité de ses frontières.
Une frappe israélienne avait tué cinq militaires syriens près de Damas en septembre. En juin, une autre avait mis l'aéroport de Damas hors service pour deux semaines. D'autres frappes israéliennes ont eu pour cible l'aéroport d'Alep (nord) en août et septembre.
Maxime Pluvinet avec AFP
L'aviation israélienne a mené lundi matin une nouvelle attaque contre des positions de miliciens pro-iraniens à la périphérie de la capitale syrienne. Il s'agit du deuxième raid en trois jours visant la région de la capitale syrienne. Les bombardements israéliens se produisent en général la nuit. "L'ennemi israélien a mené des frappes aériennes depuis le nord des territoires palestiniens occupés, ciblant des sites près de Damas", a indiqué le ministère syrien de la Défense dans un communiqué, ajoutant qu'un soldat avait été blessé et faisant état de "dégâts matériels".
Les explosions ont été clairement entendues dans la capitale syrienne, selon un journaliste de l'AFP. L'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), une ONG basée à Londres, a précisé que le raid avait visé des sites dans la région de Dimas, voisine de la capitale, où opèrent des groupes soutenus par l'Iran et l'armée syrienne.
Photo d'archive d'un raid israélien sur la banlieue sud de Damas. (AFP)
Centaines de frappes
Une frappe israélienne avait visé vendredi soir des sites militaires syriens près de l'aéroport international de Damas et dans la zone au sud de la capitale, selon l'OSDH, qui dispose d'un vaste réseau de sources dans le pays.
Depuis que la guerre civile a éclaté en Syrie en 2011, Israël a mené des centaines de frappes contre son voisin du nord, visant les forces gouvernementales syriennes ainsi que leurs alliés soutenus par l'Iran, ou des combattants du Hezbollah. Israël a justifié ces frappes par la nécessité d'empêcher l'Iran de s'implanter à proximité de ses frontières.
Une frappe israélienne avait tué cinq militaires syriens près de Damas en septembre. En juin, une autre avait mis l'aéroport de Damas hors service pour deux semaines. D'autres frappes israéliennes ont eu pour cible l'aéroport d'Alep (nord) en août et septembre.
Maxime Pluvinet avec AFP
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