La présidence de la République a publié jeudi un communiqué dans lequel le président Aoun maintient son appel au dialogue et rejette la responsabilité de l’obstruction et de la paralysie continue et généralisée des institutions sur ceux qui ont refusé de participer au dialogue et aux consultations.
À l’issue du troisième jour de concertations menées par le chef de l’Etat, seuls le Hezbollah, Amal, le CPL et quelques formations gravitant dans leur orbite ont répondu à l’appel du président Aoun. Le leader du courant du Futur Saad Hariri, les Forces Libanaises, Sleiman Frangieh et le PSP de Walid Joumblat ont rejeté la démarche du chef de l’Etat.
Dans son communiqué, le président a déclaré que «son appel au dialogue reste ouvert », invitant les réfractaires à «cesser leur arrogance et à accepter de tenir un dialogue franc afin que nous puissions décider de l’avenir». Il a estimé en outre que «la paralysie qui frappe le Conseil des ministres constitue un sabotage délibéré du plan de relance, sans lequel il ne saurait y voir d'aides ou de réformes, et cela est un crime impardonnable à l’égard du peuple».
Et le communiqué de la présidence d’ajouter : «Ceux qui perturbent le dialogue et le rejettent savent qui ils sont, et les Libanais les connaissent. Ils portent la responsabilité des pertes financières subies par les gens ainsi que des pertes au niveau des ressources de l'État».
Enfin, le président Aoun a remercié ceux qui ont répondu positivement à sa démarche, soulignant qu'il maintient son appel au dialogue et poursuit toute initiative ou décision visant à protéger le Liban et les Libanais. Il s’est dit également «engagé à respecter la Constitution» qui est au cœur de son «serment», affirmant qu’il ne violera pas son serment et ne reculera pas devant les défis».
Le leader des Forces libanaises Samir Geagea a reproché au président Aoun de perdre «un temps précieux» et a appelé à donner la priorité à une relance du gouvernement.
Lire aussi : Dialogue national libanais : trop peu trop tard
À l’issue du troisième jour de concertations menées par le chef de l’Etat, seuls le Hezbollah, Amal, le CPL et quelques formations gravitant dans leur orbite ont répondu à l’appel du président Aoun. Le leader du courant du Futur Saad Hariri, les Forces Libanaises, Sleiman Frangieh et le PSP de Walid Joumblat ont rejeté la démarche du chef de l’Etat.
Dans son communiqué, le président a déclaré que «son appel au dialogue reste ouvert », invitant les réfractaires à «cesser leur arrogance et à accepter de tenir un dialogue franc afin que nous puissions décider de l’avenir». Il a estimé en outre que «la paralysie qui frappe le Conseil des ministres constitue un sabotage délibéré du plan de relance, sans lequel il ne saurait y voir d'aides ou de réformes, et cela est un crime impardonnable à l’égard du peuple».
Et le communiqué de la présidence d’ajouter : «Ceux qui perturbent le dialogue et le rejettent savent qui ils sont, et les Libanais les connaissent. Ils portent la responsabilité des pertes financières subies par les gens ainsi que des pertes au niveau des ressources de l'État».
Enfin, le président Aoun a remercié ceux qui ont répondu positivement à sa démarche, soulignant qu'il maintient son appel au dialogue et poursuit toute initiative ou décision visant à protéger le Liban et les Libanais. Il s’est dit également «engagé à respecter la Constitution» qui est au cœur de son «serment», affirmant qu’il ne violera pas son serment et ne reculera pas devant les défis».
Le leader des Forces libanaises Samir Geagea a reproché au président Aoun de perdre «un temps précieux» et a appelé à donner la priorité à une relance du gouvernement.
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