Le bureau politique du parti Kataëb a estimé mardi que l’attaque perpétrée, dans la nuit de mercredi à jeudi, contre un convoi du contingent irlandais dans le village d’al-Aqabiya, au Liban-Sud, au cours de laquelle un Casque bleu a été tué, est «une attaque à la souveraineté du Liban qui s’était officiellement engagé à appliquer les résolutions internationales».
Dans un communiqué publié à l’issue de sa réunion hebdomadaire, le bureau politique des Kataëb a appelé à «une enquête pour identifier les circonstances» de l’incident et sanctionner ses auteurs.
Par ailleurs, les Kataëb a dénoncé les pratiques de l’association Vert sans frontières, «affiliée au Hezbollah, qui se sert de prétextes environnementaux pour attaquer les habitants de Rmeich (village maronite du Liban-Sud situé à la frontière avec Israël) et spolier leurs terres». Le parti ainsi appelé les forces de sécurité à «mettre un terme à ces attaques qui se répètent de manière périodique».
Se penchant sur la présidentielle, le parti politique des Kataëb a stigmatisé le blocage parlementaire, estimant que les séances consacrées à l’élection d’un nouveau président se sont transformées en une «mascarde». Cette échéance est «l’otage d’une partie qui a hypothéqué l’État et ses institutions, et veut imposer sa volonté et son candidat alors qu’il n’a toujours pas de candidat». «Ce qui est dangereux, c’est de s’embourber dans les conflits internes et de céder au blocage», estimant que «l’échéance présidentielle relève d’agendas externes» plutôt que d’une volonté nationale.
Enfin, les Kataëb ont enfin salué la proposition de loi sur le statut personnel unifié, qui a été présentée lundi par un groupe de députés, au nombre desquels le chef du parti Samy Gemayel.
Dans un communiqué publié à l’issue de sa réunion hebdomadaire, le bureau politique des Kataëb a appelé à «une enquête pour identifier les circonstances» de l’incident et sanctionner ses auteurs.
Par ailleurs, les Kataëb a dénoncé les pratiques de l’association Vert sans frontières, «affiliée au Hezbollah, qui se sert de prétextes environnementaux pour attaquer les habitants de Rmeich (village maronite du Liban-Sud situé à la frontière avec Israël) et spolier leurs terres». Le parti ainsi appelé les forces de sécurité à «mettre un terme à ces attaques qui se répètent de manière périodique».
Se penchant sur la présidentielle, le parti politique des Kataëb a stigmatisé le blocage parlementaire, estimant que les séances consacrées à l’élection d’un nouveau président se sont transformées en une «mascarde». Cette échéance est «l’otage d’une partie qui a hypothéqué l’État et ses institutions, et veut imposer sa volonté et son candidat alors qu’il n’a toujours pas de candidat». «Ce qui est dangereux, c’est de s’embourber dans les conflits internes et de céder au blocage», estimant que «l’échéance présidentielle relève d’agendas externes» plutôt que d’une volonté nationale.
Enfin, les Kataëb ont enfin salué la proposition de loi sur le statut personnel unifié, qui a été présentée lundi par un groupe de députés, au nombre desquels le chef du parti Samy Gemayel.
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