Le Trésor américain surveille de très près des sociétés pétrolières libanaises, ainsi que leurs dirigeants, sur le point de se retrouver sous le coup de la loi César et donc de sanctions. Motif : leur participation directe ou indirecte à la fourniture de carburants à Damas. Comme toujours, le Liban est victime de la perméabilité de ses frontières. Exemple parmi d’autres, un navire, le " Jaguar S " est arrivé au large du pays, une quinzaine de fois, muni de papiers stipulant la livraison de carburant au Liban, alors que dans la réalité, aucune commande ne lui était passée. Une fois proche des côtes, le navire éteignait son GPS et filait déverser sa cargaison dans le port syrien de Banyas.
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" En espérant de meilleures circonstances ", souhaitent les USA
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