économie

Les Etats-Unis ont connu une forte croissance au troisième trimestre

Les Etats-Unis ont carburé au troisième trimestre, avec une croissance en accélération à 4,3% en rythme annualisé, selon la publication mardi d’un rapport retardé par la longue paralysie budgétaire. Les analystes s’attendaient au contraire à un ralentissement de l’activité, avec une progression du produit intérieur brut (PIB) ...

Gap Law ou comment sacrifier les dépôts et les banques

Le vote attendu aujourd’hui au Conseil des ministres sur la loi sur le «gap financier» (Gap Law, ndlr) pourrait marquer un tournant décisif et extrêmement risqué dans la crise financière libanaise. Économistes et juristes avertissent : l’adoption de la loi dans sa mouture actuelle ne serait ...

Communiqué de l’Association des Banques du Liban concernant la Gap Law

"Les banques expriment leurs réserves fondamentales ainsi que leur vive opposition au projet de loi soumis au Conseil des ministres relatif à la régularisation financière et au traitement des dépôts. Ce projet comporte des dispositions et des mesures qui constituent, dans leur ensemble, une atteinte injustifiée et inacceptable aux droits ...

Gap Law : quand la loi criminalise les déposants

Dans une économie libérale fondée sur l’État de droit, le déposant est un citoyen protégé par la loi, non un suspect présumé. La Gap Law renverse ce principe fondamental. Sous couvert d’« assainissement » et de « lutte contre les irrégularités », elle introduit une logique de criminalisation rétroactive de comportements ...

Gap Law : la destruction programmée du secteur bancaire

Présentée comme une loi de restructuration, la Gap Law organise en réalité une liquidation méthodique du secteur bancaire libanais. Derrière des mécanismes techniques complexes — hiérarchie des pertes, assainissement des bilans, recapitalisation — se cache un choix politique clair : sacrifier les banques pour solder une crise publique ...

La loi du « massacre » financier : quand Nawaf Salam et « Kulluna Irada » dépouillent les déposants

En pleine crise nationale, le Premier ministre Nawaf Salam propose ce qu’il nomme la loi sur le « gap financier » comme une solution technique, alors qu’il s’agit d’une légalisation de la souffrance et d’une confiscation méthodique des économies des Libanais, placées dans les banques. La loi dite de « Kulluna Irada » ne se ...