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Gap Law: un texte explosif pour les banques et les déposants

Le projet de loi sur le gap financier, inscrit à l’ordre du jour du Conseil des ministres ce lundi après 17 amendements successifs, suscite une levée de boucliers tant du côté des déposants que des banques. Présenté comme un cadre de rétablissement financier, le texte est jugé profondément inéquitable et porteur de risques majeurs, ...

Communiqué de l’Association des Banques du Liban concernant la Gap Law

"Les banques expriment leurs réserves fondamentales ainsi que leur vive opposition au projet de loi soumis au Conseil des ministres relatif à la régularisation financière et au traitement des dépôts. Ce projet comporte des dispositions et des mesures qui constituent, dans leur ensemble, une atteinte injustifiée et inacceptable aux droits ...

Gap Law : quand la loi criminalise les déposants

Dans une économie libérale fondée sur l’État de droit, le déposant est un citoyen protégé par la loi, non un suspect présumé. La Gap Law renverse ce principe fondamental. Sous couvert d’« assainissement » et de « lutte contre les irrégularités », elle introduit une logique de criminalisation rétroactive de comportements ...

Gap Law : la destruction programmée du secteur bancaire

Présentée comme une loi de restructuration, la Gap Law organise en réalité une liquidation méthodique du secteur bancaire libanais. Derrière des mécanismes techniques complexes — hiérarchie des pertes, assainissement des bilans, recapitalisation — se cache un choix politique clair : sacrifier les banques pour solder une crise publique ...

La loi du « massacre » financier : quand Nawaf Salam et « Kulluna Irada » dépouillent les déposants

En pleine crise nationale, le Premier ministre Nawaf Salam propose ce qu’il nomme la loi sur le « gap financier » comme une solution technique, alors qu’il s’agit d’une légalisation de la souffrance et d’une confiscation méthodique des économies des Libanais, placées dans les banques. La loi dite de « Kulluna Irada » ne se ...

Gap Law : comment l’État libanais efface sa responsabilité

Toute crise financière pose une question centrale : qui doit assumer les pertes ? Dans une économie libérale fondée sur la responsabilité, la réponse est claire : celui qui a décidé, dépensé, emprunté et failli. Or, la Gap Law apporte une réponse radicalement opposée. Elle organise méthodiquement l’effacement de la responsabilité ...

Gap Law : le choix de la honte porté par Nawaf Salam

Il faut appeler les choses par leur nom. La Gap Law n’est ni une réforme, ni un cadre juridique, ni un plan de sauvetage. C’est une loi destructrice aux effets dévastateurs. Un massacre économique, social et moral, commis au nom d’une idéologie technocratique qui a décidé que l’effacement des déposants était le prix à payer pour ...

Gap Law : quand l’État organise son désengagement au détriment des déposants

Sous couvert de réformes structurelles exigées par le Fonds monétaire international (FMI), la « Gap Law » en préparation au Liban suscite une inquiétude croissante. Présentée comme un outil technique destiné à combler le gouffre financier du pays, cette loi est aujourd’hui perçue par de nombreux experts comme un mécanisme permettant ...

Ghobril: L'État est l'instigateur de la crise et doit en assumer la responsabilité

Dans un entretien accordé à Ici Éco, l’économiste en chef de la Byblos Bank, Nassib Ghobril, a déclaré qu’il est illogique et irresponsable de dire que l’État n’est pas le principal instigateur de la crise systémique et financière dans laquelle il a plongé le pays. Il a également souligné que cette position met en péril les ...