Les grands axes de la dernière allocution du président Emmanuel Macron sont les suivants :

1) Poutine est l’agresseur.

2) Le peuple ukrainien se bat pour sa liberté avec vaillance.

3) La France, l’Europe et la communauté internationale le soutiennent et ont mis en œuvre un ensemble de moyens pour confronter Poutine et appuyer l’Ukraine.

4) La France souffrira des retombées économiques et sociales de la confrontation en Ukraine mais on y remédiera.

5) On reconnaît au peuple russe sa vaillance et ses sacrifices dans la lutte contre le nazisme de Hitler.

6) Il faut rechercher à tout prix une sortie pacifique au conflit. C’est pourquoi, il faut " rester en contact autant que nécessaire avec le président Poutine pour le convaincre de renoncer aux armes ".

7) Il faut que l’Europe se mue en puissance autonome pour cesser d’être malmenée par "d’autres continents" ( sous-entendu pris à partie par la Chine et la Russie ou vassalisée par les USA).

Le président Macron a assuré d’ores et déjà la reconduction de son mandat présidentiel.

La solution du problème en Europe recentrera l’attention sur le Moyen-Orient où les enjeux sont énormes et où des pays et des entités jouent leur survie, où la dynamique des contradictions et la nature des belligérants initieront vraisemblablement une guerre de haute intensité.

À ce propos, je fais référence à mon article intitulé " 2022, l’année de la guerre au Moyen-Orient ", publié le 4 février dans IciBeyrouth.