Avec trois titres olympiques décrochés samedi, les Ukrainiens ont dominé la première journée des Jeux paralympiques de Pékin, les regards étant toujours tournés vers l’invasion russe.

La Chine, qui ne comptait jusqu’à aujourd’hui qu’une seule médaille, en or en curling en 2018, compte déjà huit médailles.

Vitalii Lukianenko en sprint (malvoyant), Grygorii Vovchynskyi (debout) et Oksana Shyshkova (malvoyant) ont tous trois ramené les premières médailles d’or pour la délégation ukrainienne, arrivée mercredi à Pékin après un long périple.

" Les médailles n’ont aucune importance, en comparaison de ce que vivent nos proches et les gens qui ont déjà souffert de la guerre " en Ukraine, a déclaré Oksana Shyshkova alors que Lukianenko a tenu à dédier sa médaille " aux gars qui protègent nos villes ".

Derrière, la Chine, nouvelle puissance paralympique, a déjà fait mieux que dans toute son histoire en plaçant ses biathlètes Liu Zixu (sprint hommes assis) et Guo Yujie (sprint femmes debout) au sommet samedi.

En ski alpin, le jeune Autrichien Johannes Aigner, 16 ans, a été sacré dès ses premiers Jeux lors de la descente (catégorie malvoyant), tandis que l’expérimentée Henrieta Farkasova, 35 ans, a décroché son 10e titre paralympique dans la même catégorie.

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