
Quand l’art devient un coffre-fort
Christiane Tager, 10:00 - Lecture : 3 minute(s)
Liban Beyrouth mondial dollars Londres
Dans un contexte économique incertain, l’art ne se limite plus à orner les murs. Il s’impose comme un refuge financier dont la valeur peut littéralement exploser en quelques années. Ainsi, Les Femmes d’Alger (version «O») de Pablo Picasse s’est envolée à plus de 179 millions de dollars, Untitled (1982) de Jean-Michel Basquiat ...