L’initiative Lens of Hope, lancée par le photographe de renom Maher Attar, symbolise un engagement personnel en faveur de la philanthropie par le biais de la photographie. Les amateurs de photographie sont invités à réserver leur samedi 6 avril 2024 pour cette noble cause. L’exposition sera ouverte aux visiteurs de 11h à 19h, à la galerie Art District.

L’exposition Lens of Hope présente une collection éclectique d’œuvres de sept photographes, dont Maher Attar, Khodr Cherri, Michel Soufia, Wissam Khoury, Chloé Khoury, Alfred Moussa et Mohammad Kaakil. Parmi ces artistes, quatre bénéficient d’une notoriété mondiale, tandis que les trois autres sont reconnus comme des talents émergents dans ce domaine.

L’événement se déroulera dans l’espace d’exposition Art District, à Beyrouth. Les participants auront l’opportunité d’explorer quinze chefs-d’œuvre, chacun incarnant des perspectives et des narrations uniques. Cette sélection minutieuse vise non seulement à mettre en avant l’excellence artistique, mais également à encourager une compréhension et une appréciation plus profondes de la photographie en tant que forme d’expression.

Il a été annoncé que 100% des recettes seront dédiées à la noble cause de sauver la vie de Chris.

Cet événement souligne la puissance de l’art comme vecteur de changement, démontrant comment les efforts créatifs peuvent contribuer de manière significative à des causes caritatives. C’est une occasion pour les mécènes et les passionnés de s’engager en faveur des arts photographiques, tout en contribuant à sauver une vie.

Il n’est pas surprenant que Maher Attar ait lancé cette initiative, combinant son expérience de photographe primé avec sa photographie de guerre et ses portraits de leaders mondiaux et de célébrités en 1984. Il a commencé sa carrière en tant que photographe de guerre au Liban. Ses débuts de photographe de presse ont été marqués, en 1985, par la publication d’une de ses photos, prise durant la guerre au Liban, en première page du New York Times. Maher a couvert nombre de conflits au Moyen-Orient, dont la guerre Iran-Irak, celle du Golfe, celle des Talibans en Afghanistan, le détournement de l’Achille Lauro, ainsi que les crises des otages américains et français au Liban.

"J’ai toujours rêvé d’un lieu unique comme l’espace Art District, où les amateurs de photographie et les collectionneurs peuvent regarder des expositions et parcourir une collection de livres de photographie du monde entier. J’ai également intégré un studio dans la galerie où je peux utiliser la technique analogique pour produire des portraits mémorables. Mon objectif est de rehausser le statut de la photographie d’art au Liban", atteste-t-il.

Ainsi, en accueillant cet événement pour la bonne cause, la galerie Art District fera certainement une différence dans l’humanisation d’un petit coin du monde. Puisse cet acte tracer le chemin pour des initiatives similaires.