Ce que j’applaudis

Le Malade imaginaire de Molière, au Château de Versailles.

Guillaume Gallienne joue un Argan drôle, émouvant, odieux parfois, ridicule souvent, agaçant, capricieux, mélancolique, enfantin et étonnamment attachant. Il m’a réconciliée avec le Malade dont je gardais un souvenir assez ennuyeux. Gratiam. 

La pièce résonne avec force après deux ans de Covid, et la scène entre Argan et son frère Béralde, sur ce qu’est la science de la médecine, ne manquera pas de rappeler certaines discussions au plus fort des campagnes de vaccination.

Au-delà du sujet, j’ai été frappée par la modernité de Molière, modernité qui se révèle d’autant plus quand la troupe a le talent de celle de la Comédie-Française. Gratiam 

Mention spéciale pour le  ballet final qui est une pure merveille!

Le compte insta à suivre…

C’est @ganasconcanas et c’est une ode à la vie!

Le compte de deux grands-parents, Celina et Filiberto, devenus célèbres pour leur joie de danser qu’ils partagent sur les réseaux sociaux.

Vous reconnaîtrez, comme moi, aisément l’accent cubain de leur déhanché; ils sont tout simplement irrésistibles de bonne humeur, d’allégresse, de vie.

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