La société française Nexa Technologies, accusée d’avoir vendu du matériel de cybersurveillance au régime égyptien qui lui aurait permis de traquer des opposants, a été mise en examen en octobre pour " complicité d’actes de torture et de disparitions forcées ", a appris dimanche l’AFP de source proche du dossier.
previous article
Israël-Épidémie-Virus-Santé,Lead
Lire aussi
Basket: sans forcer, Riyadi domine La Sagesse pour mener 2-1 dans la série
17 Mai, 2024 à 23:31
Israël: l’armée annonce avoir trouvé et rapatrié les corps de trois otages de Gaza
17 Mai, 2024 à 18:31