Jane Birkin, dont la voix unique et douce s’est éteinte à l’âge de 76 ans, a suscité un concert de louanges du monde politique et artistique. Le président français Emmanuel Macron a rendu hommage à cette figure iconique de la culture française, qui, selon lui, " incarnait la liberté " et " chantait les plus beaux mots de notre langue ".

La Première ministre, Élisabeth Borne, a, à son tour, utilisé Twitter pour saluer l’artiste comme une " icône inoubliable ", qui a su " transcender les générations ".

Des célébrités du monde du cinéma, telles que Pierre Richard, se sont exprimées avec une émotion palpable. L’acteur a confié qu’un fragment de son cœur est parti avec Jane, qu’il décrivait comme drôle, intelligente, fragile, généreuse, simplement " si tout ".

Brigitte Bardot, avec un ton chargé de tristesse, a souligné l’injustice de la mort lorsqu’on est " aussi jolie, aussi fraîche, aussi spontanée, avec une voix d’enfant ". Pour Bardot, Birkin restera " éternelle dans nos cœurs ".

Étienne Daho, collaborateur récent et proche de Birkin, a partagé sur Instagram le désarroi de vivre dans un monde désormais dépourvu de la lumière de l’artiste. Des figures telles que Sheila, Patrick Bruel et Benjamin Biolay ont également exprimé leur affection pour cette étoile perdue.

Une vague d’admirateurs, de simples fans aux personnalités célèbres, s’est déversée sur le 5 bis rue de Verneuil, connu comme " Maison Gainsbourg ", une demeure marquée par leur histoire d’amour et de créativité. D’autres ont choisi de se rendre rue d’Assas, le dernier refuge parisien de cette artiste d’exception.

Jane Birkin, qui a prêté son nom à un sac de la marque de luxe Hermès, a également reçu des hommages du monde de la mode.