Elle poursuit sa course à travers les nuits, dans sa ville, son Beyrouth, explosé, déchiré, mis à terre.
Un sang rouge cramoisi coule de ses mains, se transforme et devient cire.
Absence d’humains mais elle est là pourtant, elle ne se cache pas, son absence se fait présence alors qu’elle danse entre les ombres des fenêtres en arcade.
Se rencontrer, te rencontrer…
Et partir, à travers des tunnels lunaires, partir avec toi, en virées nocturnes, sous des ciels bleutés, rosés, noirs.

Le catalogue d’exposition est disponible à Agial