Le président du Conseil économique et social Charles Arbid a vivement stigmatisé, sur son compte Twitter, la paralysie qui sévit dans le pays à différents niveaux. " Où en est-on au sujet des blocs pétroliers, des négociations sur la ligne maritime, de la carte d’approvisionnement, de la nomination d’un nouveau ministre (à la place du ministre de l’Information qui a démissionné récemment), de l’enquête sur l’explosion du port, des audits, du contrôle des capitaux, du pétrole irakien, du gaz égyptien, de la grille des salaires, et du budget 2022… Le pays est paralysé ".