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«Les dirigeants politiques n’ont pas le droit d’être divisés et de paralyser le pays», gronde Antonio Guterres

Quelles que soient les explications que les dirigeants libanais ont pu donner au secrétaire général de l’Onu, Antonio Guterres, pour justifier leur laxisme inacceptable à tous points de vue, face à une crise qui ne fait que s’aggraver au Liban, celles-ci sont loin d’avoir convaincu le patron des Nations unies. En atteste la sévérité ...