Je ne l’ai pas encore lu puisque la sortie est prévue le 1er juin et je ne vous mentirai pas, l’auteur est un ami (et l’un des hommes les plus drôles que je connaisse), alors je suis forcément preneuse mais quand même, le roman promet d’être palpitant : on est en 1988, Guillermo et Ethan, deux jeunes sciencepistes ont obtenu une autorisation pour retourner dans leur pays d’origine, le Chili, au moment où celui-ci bascule en démocratie, et ils partent en quête de leur passé familial. Les deux étudiants vont alors être les témoins des bouleversements de l’histoire en marche.

Avouez, ça s’annonce bien non ?

Ce que j’admire …

Des Vermeer et encore des Vermeer 

Nous avons eu la chance d’aller à Amsterdam et de voir ce que l’on dit être l’expo du siècle parce que 28 toiles du Maître s’y dévoilent.

Nos attentes étaient hautes, elle ne furent pas déçues.

La peinture de Vermeer est envahissante, ses tableaux presque ensorcelants et la grâce de ses sujets, infinie.  Avec lui le quotidien devient extraordinaire au sens littéral du terme.

Que dire encore du peintre de l’intime : que chacune de ses toiles convoque notre imaginaire et tisse une nouvelle histoire, que le monde s’invite dans des intérieurs secrets, d’une fenêtre entrouverte à une lettre que l’on tend. Jeux de lumière, dégradés de couleurs, minuties des détails, ses tableaux sont une inépuisable source de contentement.

Je dis souvent à mes enfants que la beauté et l’art élèvent les âmes; cette phrase n’a jamais été aussi vraie que pendant cette heure matinale dimanche dernier.

Voilà  4 tableaux que je porte encore en moi :

Et sinon ?

Un erratum ! Dans ma dernière lettre, mon cerveau a fourché ! J’ai évoqué la mafia libanaise -qui n’existe pas- au lieu de la mafia albanaise -un peu plus connue tout de même. Rendons à César ce qui est à César et mes sincères excuses à mes lecteurs libanais.

Il me reste à vous dire que cette newsletter clôture la saison puisque j’ai décidé de me caler sur le rythme des séries culte (pas moins) et donc me voilà partie pour 2×12 épisodes par an. 24 newsletters pour que ni vous ni moi n’ayons le temps de nous lasser. Heureusement Roland Garros prend la relève. Même sans Nadal, l’arrivée du tournoi annonce que c’est l’été qui est là, et ça, c’est plutôt cool.
Je vous retrouve au mois de septembre avec bonheur !

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