Comme le Covid s’éloigne et que les spectacles vivants reprennent, il est plus que temps de réserver des places pour le printemps! 

Dans mon panier:

  • Le Bourgeois Gentilhomme mis en scène par Christian Hecq et Valérie Lesort.

Parce que qui mieux que Christian Hecq peut mettre en scène le fantasque et le burlesque de cette comédie-ballet écrite il y a près de quatre cents ans. Un bourgeois qui promet d’être à la démesure de ses créateurs. À voir au Français.

  •  Un spectacle de Ohad Naharin 

Hora, à voir à Genève ou Venezuela au théâtre de Chaillot, peu importe, les deux si vous pouvez, mais Ohad Naharin définitivement pour vibrer grâce à ce chorégraphe de génie dont la troupe, la Batsheva Company, offre des ballets aussi généreux que bouleversants.

  • Le Malade imaginaire mis en scène par Claude Stratz avec Guillaume Gallienne

Parce qu’au-delà d’être un de mes cousins, Guillaume est l’un des plus grands comédiens de notre époque et que le voir au théâtre est un privilège. Parce que la pièce du Malade résonne étrangement après deux ans de Covid. Parce que Molière aurait quatre cents ans. À la Comédie-Française ou en tournée.

Une citation qui fait écho…

En ces temps d’agitation politique, en cette époque de divertissement médiatique, en un moment où les paroles se télescopent dans le bruit, écoutons un peu les mots d’un moraliste du XVIIIe:

"La simplicité nous présente l’image de la vérité et de la liberté."

Le marquis de Vauvenargues est, il est vrai, moins connu que La Rochefoucauld ou Pascal, mais ses aphorismes méritent d’être entendus…  Et surtout, n’y voyez aucune allusion à un quelconque programme.

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