Le rythme s’accélère dans cette Coupe du monde 2022. La deuxième journée de la phase de poules débute, vendredi, avec quatre matchs au programme. Dans le groupe A, le Qatar affronte le Sénégal, pendant que les Pays-Bas défient l’Equateur, alors que dans le groupe B, les chocs pays de Galles-Iran et Angleterre-Etats-Unis promettent du spectacle (heure de Beyrouth)

12h00: pays de Galles-Iran

Sèchement battu par l’Angleterre (6-2) pour son entrée en lice dans ce Mondial, l’Iran doit se rebiffer contre le Pays de Galles, qui a arraché le match nul contre les Etats-Unis (1-1). Pour leur première participation à la compétition depuis 1958, les Dragons de Gareth Bale ont une belle occasion de prendre provisoirement la première place du groupe, avant le terminer avec le derby contre l’Angleterre. Après leur refus de chanter l’hymne iranien, les joueurs de la Team Melli seront également scrutés, alors que le mouvement de contestation causé par la mort de de la jeune Mahsa Amini (22 ans), ne faiblit pas dans leur pays.

15h00: Qatar-Sénégal

Pays hôte contesté, le Qatar doit se reprendre sur le terrain. Après une prestation indigente face à l’Equateur (0-2), les Qatariens doivent trouver les ressources pour produire du jeu, et convaincre le public de Doha de ne pas partir à la mi-temps. Du côté des Lions de la Téranga, battus sur le fil par les Pays-Bas (0-2), le constat est le même : il faut gagner pour maximiser ses chances de qualification en huitièmes de finale.

18h00: Pays-Bas-Equateur

Victorieux et convaincants lors de la première journée, les Néerlandais de Louis van Gaal et les Equatoriens de Gustavo Alfaro ont déjà fait un pas-de-géant vers la phase à élimination directe. À chacune de leurs participations, les Oranje ont systématiquement atteint les huitièmes, tandis que la Tricolor n’est sortie qu’à une reprise de son groupe, en 2006. Avantage aux Pays-Bas donc, même si, en deux confrontations amicales avec l’Equateur, le bilan est loin d’être infamant (victoire 1-0 en 2006 et match nul 1-1 en 2014).

21h00: Angleterre-Etats-Unis

Auteurs du premier gros carton de ce Mondial (6-2 contre l’Iran), les Anglais de Gareth Southgate, finaliste du dernier Euro, avancent avec confiance dans cette compétition, qu’ils n’ont remportée qu’une fois en 1966. Incapables de faire le break et de battre les Gallois, les Américains de Gregg Berhalter font donc office d’outsider, bien que l’histoire invite à la prudence. En deux confrontations

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